30 mars 2015
poème en alexandrins : en cette ultime danse où se joue le hasard
En cette ultime danse où se joue le hasard
Je ne peux plus te suivre, toi, qui mens
Qui me trompes, m’insultes à tout moment !
Notre vie de couple est un traquenard.
C’est toujours toi qui diriges, qui bats
La mesure qui me mesure le temps
Qui s’effiloche au gré de ton tempérament.
Tu ne m’épargnes pas violence, combats !
Tout t’est prétexte à récriminations !
Dans cette prison sans barreaux où tu m’as mise
J’étouffe et meurs de ton manque de franchise
Je rêve pourtant à d’autres destinations :
Fuir, il faut fuir ce tango infernal
Où tu crois me tenir sous ta coupe
Et trouver un remède à cette soupe
Que tu me forces à avaler comme un animal !
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