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violences conjugales et cancer

27 mai 2021

Le renouveau après le confinement

Je me réveille

Plongée depuis des mois dans une somnolence inquiète, ayant peur de tout, de l’épidemie mais plus encore de ce sentiment d’être seule à se battre contre des démons invisibles, Emilie, par un beau matin de printemps se réveilla : comme le soleil dissipe les nuages gris, elle vit Paris sous un jour nouveau depuis deux ans. Enfin, elle retrouva la capitale qu’elle aimait ! Le long des rues, aux terrasses des cafés, la joie semblait revenir vraiment. Le masque était volontiers baissé et si un gendarme se pointait à l’horizon, il était remis prestement.
Le bonheur de revoir les musées qu’elle aimait tant et c’était si bon vraiment de retrouver les toiles des maîtres préférées au Louvre. Pendant tant de jours, tant de semaines, tanrt de mois, une sorcière maléfique l’avait figé dans son immobilité. Beau monument qui aux passants donnait l’irrépressible envie de franchir ses portes condamnées. Et là, tout était à nouveau ouvert et sentir à sa disposition tant de trésors, tant de beautés connues mais toujours à redécouvrir l’enthousiasmait. Comme à un rendez vous amoureux, le coeur lui battait en montant l’escalier et tout d’un coup la longue galerie des peintures lui promettait de si attendues retrouvailles. Oui, elle se dirigeait vers la Belle jardinière de Raphael pour admirer une fois de plus la beauté des visages de ces vierges éternellement idéales. Devant la Vierge aux rochers de Léonard, Emilie s’interrogea encore devant l’ange qui pointe son doigt, interrogeant le spectateur et pourquoi pas l’invitant à entrer dans le tableau. A chaque tableau, un souvenir remontait à la surface. Sa mémoire sans cesse en alerte retrouvait même d’autres tableaux qui ressemblaient aux premiers ou s’en distinguaient. A chaque fois, elle ressussitait tel peintre qui lui parlait dans son tableau. Comme une symphonie de couleurs et de formes, tout était signe, symbole, appel. Des anecdotes ressurgissaient : devant la Mort de la Vierge de Caravage, elle s’interrogeait sur la composition majestueuse avec le rideau rouge au fond et les visages si populaires, aux expressions parfois grossières qui représentaient les saints. On avait dit que les modèles avaient été choisis dans les bas fonds et grâce au refus du commanditaire pour cause de la trivialité des personnages, ce fut le roi de France qui put achter l’oeuvre, merveilleux fleuron du musée. Devant chaque toile une émotion, un souvenir touristique ou litteraire comme si le monde entier se réveillait par la magie de l’art pictural.
Puis il y avait toujours la connivence entre l’histoire du peintre et son caractère : le Douannier Rousseau, par exemple bien représenté au musée de l’orangerie, avec son irrespect de la perspective classique, son goût des détails lui semblait être un des dignes continuateurs de ces tapissiers du Moyen Age avec les semis de fleurs, les petits animaux apportant grâce et richesse à ses compositions décoratives. Emilie était émue quand elle sentait la simplicité, l’abnégation de ces peintres méconnus de leur vivant mais aujourd’hui de vrais «phares» de la peinture.
Au musée d’Orsay, c’était toujours avec émotion et presque affection, qu’elle s’appochait des toiles de Van Gogh où la signature «Vincent» manifestait le besoin de ce peintre, si méprisé de son vivant mais encensé maintenant, d’être aimé. Devant l’Eglise d’Auvers sur Oise ou un autoportrait si tourmentés, Vincent semble toujours faire appel à la sympathie du spectateur.
Ainsi dans les musées s’éveille ce merveilleux langage de l’art qui nous touche par delà les âges, les sexes, les barrières sociales, les religions.
Emilie retrouvait la vraie vie, celle de la contemplation et celle de l’amour pour le Beau qu’il soit dans les musées mais aussi dans les monuments de Paris, sur la Seine qui paresseusement charrie avec ses flots tout un pan de notre histoire. Et quand, Emilie marchait le long des quais de la Seine, admirant encore et encore cette paix retrouvée, cette liberté chèrement reprise, elle savait bien qu’en se réveillant dans ce Paris où chaque rue, chaque lieu lui rappelaient que la vie se renouvelle toujours, elle allait s’eveiller vraiment au bonheur de vivre.

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30 avril 2021

Pendant le confinement, la tristesse doit changer

Un jour, la joie fut rendue obligatoire
Dans un monde en mal d'espérance, complètement obnubilé par la peur de la mort après avoir frémi, craint la maladie qui s'étendait de plus en plus, les terriens avaient oublié même la vertu du sourire. Ainsi, ils se croisaient sans mot dire. Les regards étaient fuyants. Ils dérobaient même leur visage en se masquant pour lutter contre l'épidémie. Plus de rire, plus de joie. Ils vivaient d'ailleurs dans l'attente d'une accalmie. Mais toujours déçus, ils devenaient si tristes qu'ils ignoraient même la douce chaleur du soleil printannier et la nature toujours florissante. Les prés s'émaillaient de boutons d'or, de pâquerettes, de myosotis. Les lilas sentaient bons. Les arbres fruitiers se couvraient de fleurs blanches ou roses. La promesse des fruits et du bonheur futur était tangible. Mais les habitants de ce monde gagnés par le regret du passé où on pouvait agir librement, fréquenter les lieux de culture, tous les magasins ne regardaient plus rien de ce qu'ils avaient aimé autrefois. Même les plus belles villes avec leurs monuments émouvants par la charge du passé qu'ils symbolisaient n'émeuvaient pratiquement plus personne. A Paris, les parisiens, si fiers autrefois de leur si belle ville, ne contemplaient plus la belle façade de Notre Dame. Les quais de Seine si beaux avec leur succession d'édifices chargés d'histoire ne les intéressaient plus car ils ne pouvaient plus y pénétrer : les musées étaient fermés, les théâtres aussi. Un sorcière maléfique avait selon eux jeté un sort à leur capitale. Et dans Paris, comme dans tant de villes provinciales, les monuments s'étaient figés tristement dans l'attente d'un renouveau qui tardait à venir.
Alors pour palier à cette situation désespérante, les édiles de chaque pays se réunirent. Un jour , ils décidèrent que la joie serait rendue obligatoire.
Oui, les médecins avaient déjà démontré les vertus du rire ; un proverbe disait bien «une journée perdue est celle où on n’a pas ri». Les philosophes, les psychologues rappelaient les préceptes des grands auteurs : la comédie qui expurge le mal, la tristesse. Les formules comme celles de Molière et de «son rire médecin» : c’est une difficile entreprise de faire rire les honnêtes gens» disait il ! A chaque siècle, des écrivains fameux se sont davantage illustrés par le rire ou le sourire que par le pathos ou les larmes. Voltaire a écrit beaucoup de tragédies mais ce sont ses contes philosophiques où l’humour favorise le rire qui demeure, ses tragédies sont oubliées. La gaieté devait être générale, universelle. Les humoristes furent invités sur tous les plateaux de télévision. On visionna aussi des films comiques qui même revus et re-revevus déclenchaient encore l’hilarité des spectateurs. Les grands acteurs comme Charlot, Louis de Funés, Laurel et Hardy, Raimu et tant d’autres furent à la mode. Dans les programmes scolaires, dans toutes les classes, une comédie de Molière fut étudiée, voire jouée par les élèves. De règle générale, les écrivains comiques furent privilégiés. On relut avec plaisir Le Tiers Livre de Rabelais Clochemerle ,Poil de carotte, Les Malheurs de Sophie où les bêtises de l’héroïne ou du héros prétaient sans cesse à sourire ! Les publicistes furent invités à trouver des sloggans amusants : les gens étaient fatigués de la distinction complètement absurde entre biens essentiels et inessentiels et des chaines de super marchés s’amusèrent à dénoncer le ridicule de certaines interdictions dans leurs rayons : «si les biberons devenaient inessentiels, il aurait fallu que le gouvernement interdise de faire des bébés lors du premier confinement.» Tout était prétexte à l’humour. Petit à petit, le sourire revint. Même, s’ils étaient masqués, leur regard amusé manifestait une certaine gaieté. Ils aimaient aussi rire des «bourdes» des hommes politiques : à l’assemblée nationale, au sénat, des journalistes spécialisés traquaient les bêtises des hommes politiques. Les photographes vendaient chèrement aux journaux des clichés qui mettaient en scène un homme ou une femme politique dans une situation ridicule que ce soit par son habillement comme les chapeaux de la Reine d’Angleterre, par son accent comme un certain premier ministre, par ses gestes comme plusieurs politiciens qui pensent brasser des idées géniales en balançant leur tête ou en remuant beaucoup ! La concorde régnait. Loin de s’offusquer d’être moqués dans les journaux, des hommes politiques plus intelligents que par le passé cherchaient eux mêmes à dire de bons mots pour faire rire leurs concitoyens. Même les administrations cherchaient à amuser leurs administrés : les contrôleurs des impôts, par exemple, cherchaient à citer des aphorismes comiques afin d’envoyer des lettres de relance ou des menaces d’ amendes pour amuser leurs administrés. Sur les routes, des figures sympatiques comme les «emoïs» se succédaient : pour prévenir d’un dépassement de la vitesse, le visage était rouge et courroucé, si le conducteur avait respecté la régle autorisée, leur visage était souriant : certains clignaient même un oeil dans une complicité amicale. Les gendarmes vous demandaient vos papiers avec un grand sourire. Et si vous les démasquiez en train de vous contrôler à l’aide de leur caméra, ils répondaient à votre salut ironique «je t’ai vu» par un geste amical.
Bref, grâce à la gaieté, la solidarité, l’amitié même étaient revenus et tous unis pour lutter contre l’épidémie, les habitants de la planète bleue parvinrent à repousser durablement la peur de la mort.

 

28 avril 2021

Partir pour vivre mieux

La fuite

Dehors, comme des fantômes
Errent ces amis inconnus
Ces femmes et ces hommes
Qui traversent solitaires les rues
Tu voudrais leur parler
Mais ils ont dejà disparus
Comment vivre masqués ?
La peur devient silence
Et pourtant tu penses
Qu’ils sont un autre toi même
Tu partages leur inquiétude
Tu te loves dans leurs habitudes
Fuir, tu voudrais fuir
Pour ne plus avoir à taire «je vous aime»
Pour ne plus craindre de haïr
La privation de liberté
La perte de son identité

 

 

22 avril 2021

Prendre sa vie en main

Au petit bonheur, la chance

Tu marches dans la vie
Sur des pistes diverses
Mais aussi mal définies
Tu te laisses tromper par des routes adverses

Non, non, il est temps d'agir
Par toi même
Le temps n'est plus à rêver d'avenir
Il faut soi même
Le construire, suis la trace du bonheur
Car toi seule, de liberté tu es ivre
La raison n'est pas la loi du coeur
C'est le plus beau cadeau de vivre,

Ne va pas au petit bonheur, la chance
Si tu te trompes quelquefois, tant pis
L'essentiel, c'est d'avoir vécu d'espérance
Et pour l'essentiel de n' avoir jamais trahi
Tes aspirations les plus essentielles :
Ce mari qui crie, qui te trompe, qui te bat,
Laisse tomber ces vaines querelles
Quitte le au plus tôt, si tu t'en vas
Tu n'auras plus à mentir, à trembler, à feindre
Un contentement que tu n'éprouves pas
Des gens t'aideront : tu verras, des amies, tu en auras
Avec elles, tu n'auras plus rien à craindre
Parler, rire, se confier, s'aider mutuellement
Permet d'éviter de la solitude, l'enfermement
De chasser les nuages noirs
De te redonner beaucoup d'espoirs

Dans peu de temps, tu oublieras
Le triste passé qui t'a coupé les ailes
Pendant tant de mois, tant d'années cruelles
Au petit bonheur, la chance, tu n'y croiras pas

 

 

5 mars 2021

Menaces

En un clin d’oeil

En un clin d’oeil, j’ai compris que j’étais trompée. D’abord ce fut un faisceau de petits faits anodins. Par exemple, mon voisin me parla de cet officier de justice comme d’un ami, il le tutoyait. Cela me sembla curieux, je ne pus m’empêcher de faire remarquer à mon notaire depuis quatorze ans : combien c’était curieux qu’un agriculteur le tutoie. Pourtant, ils n’étaient pas des condisciples à l’école ! Maître X fit une tête bizarre : il avait l’air surpris mais en même temps géné : «je le lui dirai». En fait, je pensais tout de suite qu’il voulait cacher un secret, une entente. Mais j’oubliais très vite cette remarque. Une aute fois, lors d’une signature de contrat, alors que j’allais vers lui pour le saluer, et mon propre notaire tourna délibérément les talons. Juste étonnée, je ne fis aucune remarque. J’avais confiance. Combien des manières aimables peuvent vous éloigner de la vérité : d’autres remarques auraient pu me faire fuir mais non je ne les comprenais pas. Ainsi, d’une personne qui me faisait des difficultés pour me rembourser ce qu’elle me devait, au lieu de prendre mon parti, cet homme que je croyais de mon côté, me dit tout à tract «elle ne peut pas vous voir» je ne lui avais rien fait : un échange de lettres bien protocolaires. Comment pouvait-elle m’en vouloir ?
Mais voilà, pour être moins malheureux, on se raccroche à des impressions positives. Notre esprit chasse ce qui pourrait le troubler. Pourtant, un jour, je fus témoin d’un clin d’oeil complice. Celui qui voulait à tout prix m’acheter ce que je ne voulais pas lui vendre : une terre qui m’était chère parce qu’elle me remémorait mes souvenirs d’enfance. Parfois la voix de ceux qui nous ont précédés nous dicte des obligations. J’entends toujours les pleurs de ma grand-mère quand la voisine lui avait dit que mon père se laisserait convaincre et qu’après sa mort il leur vendrait la ferme. Alors ma grand-mère me fit solennellement jurer de ne pas vendre. J’avais onze ans et cette scène reste ancrée dans ma mémoire comme symbolique de ce long combat de mes grands-parents pour acquérir cette demeure datant de 1868, caractéristique de la région, symbole de leur réussite, surtout, parce qu’il l’avait acquise à force de privations, de travail. De métayer, mon grand-père était devenu propriétaire : il avait racheté à ses patrons leur ferme. Chose impensable, à une époque, où il n’y avait aucun prêt bancaire, aucune aide. Il fallait emprunter à des amis, des proches et c’était à des intérêts élevés. Pour rembourser, mon grand-père partait très tôt pour vendre le bois qu’il avait coupé sur sa propriété. Ma grand-mère économisait, vendait des oeufs, des légumes sur le marché et toute la famille travaillait sans relâche.
Ils étaient tous unis et le combat a continué dans les generations suivantes. Hélas, je suis seule pour le continuer.
Et je porte le poids d’une histoire si complexe. D’abord, la rivalité avec la maison voisine. Installés les premiers, les voisins jalousèrent ceux qui étaient venus après eux. Des mesquineries d’écolier, d’abord. Pour un barrière déplacée, ils appelaient la gendarme. Puis, il y eut la guerre de l’eau. Pour un mêtre ou deux de chemin qui n’avait pas été goudronné jusqu’à leur porte aux frais de mon grand père, ils interdirent qu’on aille puiser de l’eau potable dans leur source, près de leur maison. Il fallait donc qu’on parte sous le soleil pour aller chercher de l’eau à une fontaine perdue au fond de nos bois : et comme la cruche pesait quand il fallait la remonter par un pré en pente. En un clin d’oeil, je revois la scène et je sais que je ne pourrais jamais oublier. Le temps passa : après les grands parents, mes parents disparurent et nous fûmes face à face. Pour éviter de vendre des terres, j’acceptai tout : que mon voisin mette ses vaches dans mes champs, je lui vendis à contre-coeur des prés mais insatiable, il voulait toujours plus et notamment une terre que mon père m’avait interdit de vendre. Pour me convaincre, il me fit du chantage «si tu ne vends je ne te préviendrai pas même si ta ferme flambe.» Que faire ? En un clin d’oeil, je revis le long combat mené par mes parents et grands-parents : la lutte silencieuse et hypocrite de ces paysans, nos propres voisins : des lettres recommandées pour dénoncer mes parents à qui ils reprochaient de donner l’herbe à leurs ânes alors que c’était pour les vaches que seuls avaient les voisins. Je ne me sentais pas assez forte. Mais mon propre voisin que je croyais mon ami a délibérément vu le notaire et à deux ils se sont entendus pour me tromper. Je n’ai pu revenir sur la vente.
En un clin d’oeil, j’ai été trahie et j’ai trahi les miens qui sont toujours perdants dans cette guerre muette qui a duré tant d’années : plus d’un siècle !

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26 février 2021

Je me suis racontée une drôle d'histoire Pour me

Je me suis racontée une drôle d'histoire
Pour me changer les idées, je me suis racontée une drôle d'histoire. Dans un monde futur, peut être plus parfait, je me suis inventée une histoire. Histoire que j'ai créé de toutes pièces. En effet, comment savoir si dans les années à venir, les femmes seront plus heureuses, plus respectées et plus libres.
Pour le moment la situation est de plus en plus grave. Tous les jours, des faits divers nous apprennent qu'en France des feminicides sont à déplorer. Une femme meurt tous les deux jours et demi des suites des violences conjugales. Pendant le confinement, les plaintes contre un mari, un concubin ont explosé. En effet, comment vivre dans un espace réduit, toute la journée avec un homme qui se met en colère ? En plus, pour les femmes ayant des enfants, il fallait s'en occuper sept jours sur sept, toutes les heures, faire faire les devoirs, intervenir auprès du père pour qu'il soit calme même si les enfants crient, sautent, font les fous. Alors, c'était l'enfer. La mère de famille qui cumule deux emplois : un travail et quand ses horaires de présence sont finies, c'est une autre occupation qui l'attend : faire le ménage, ranger, cuisiner. Toutes ces petites tâches quotidiennes répétitives qui vous empêchent de faire de grandes choses parce que chronophages. Le confinement grossit, multiplie tous ces problèmes.
Tout cela parce que dans un pays lointain, des hommes ont acheté des pangolins afin que leurs écailles servent de produits aphrodisiaques. Les animaux se sont vengés peut être.
Fatigués d'être une proie, une monnaie d'échange, un escave à quatre pattes pour les hommes, les bêtes se sont révoltées. Quoi de plus facile que de contaminer ces hommes vaniteux et cruels. Et voilà que le monde entier subit les effets d’une épidémie qui non seulement ne faiblit pas, mais se tansforme en autant de variations. Si des vaccins sont imaginés mais plus vite, une autre type d’épidémie naît réduisant à néant les efforts des savants, des médecins pour guérir la première maladie. L HOMME EST ALLE SUR LA LUNE MAIS IL N EST PAS CAPABLE de guérir ses semblables.
Pendant le confinement où les villes étaient désertées de toute présence humaine, les animaux se sont aventurés jusqu’au centre des villes. Certains ont donné aux hommes une leçon. Ainsi le fenec choisit une compagne pour toujours. Les pigeons s’aiment d’un amour tendre et fidèle. Tant d’autres bêtes, sont fidèles à leur femelle. Et même si les animaux ont plusieurs compagnes, il n’existe aucune espère qui tue sa femelle.
Mon histoire est peut être trop optimise. Mais je rêve que bientôt l’épidémie soit vaincue, que les habitants de toutes les parties du monde puissent guérir et que la mort ne décime plus les citoyens du monde. Notre terre si belle, si riche ne mérite t elle pas que les hommes et les femmes soient définitevement égaux ? Tous devraient pouvoir exercer le métier qui leur plait, pouvoir obtenir les postes importants qu’ils souhaitent.
Les femmes de tous les pays s’uniraient pour protester contre les féminicides et enfin les gouvernements entendraient leurs voix. Des condamnations plus fermes permettraient enfin que les hommes violents soient punis. Ls enfants eux aussi seraient écoutés : ils pourraient choisir le parent qui s’occuperaient d’eux. Surtout ils protestraient contre la violence au sein de leur foyer. Des féminicides, des abus sexuels seraient enfin inexistants. Dans la concorde, les hommes et les femmes vivraient dans le respect de leur mère la terre et par conséquent de tous les animaux. Alors une véritable harmonie semblable à celle connue par Adam et Eve dans le paradis terrestre s’installerait définitivement.
Nos efforts à tous seraient récompensés par l’éviction définitive de cette épidémie qui nous rend agressifs, inquiets, déprimés. Le confinement nous aurait donc permis de nous rendre compte de la cruauté des maîtres qui enferment leurs animaux de compagnie comme ces pauvres pangolins prisonniers dans leur petites cages.
Il faut bien rêver d’une drôle et heureuse histoire.

 

21 février 2021

Condition féminine dans les années 20

La particularité de cette enquête tenait en ce simple constat : Carla, célèbre meneuse de revues des années vingt est retrouvée morte dans sa loge au Moulin Rouge. Aucune trace d’effraction mais la certitude que le meurtre avait bien été commis au sein du célèbre cabaret.
La commissaire de police était une femme atypique. Bien loin, de ces sempiternelles jeunes femmes bien maquillées, bien pomponnées qui jouent la commissaire dans de sempiternelles séries télévisées, Jocelyne Legrand, la cinquantaine arborait imperturbable un imperméable sur un pull marine sans forme. Toujours, en pantalon, elle allait à l’essentiel et parlait avec autorité. Elle savait que ses collegues hommes étaient toujours prêts à la contester. Donc c’était une lutte de chaque jour car elle savait qu’à la moindre erreur elle perdrait son poste.
Jocelyne étudia avec attention la scène du crime. Dans une loge tendue de reps rose avec des fauteuils couverts de fausse fourrure rose, Carla gisait à terre, ses jupes relevées, A sa poitrine, une étoile rouge d’où partaient deux filets de sang. Ses bottines à lacets gisaient à cote du corps comme si Clara avait été surprise par l’assassin au moment même où elle se chaussait. Les grands yeux noirs de Carla étaient fixés sur la porte par laquelle était entré son meurtrier. Dans ce regard fixe, Jocelyne lisait facilement la peur, la surprise. Clara connaissait certainement son assassin. L’arme avait disparu mais le légiste avait conclu que sûrement c’était un couteau pointu ou un stylet : la plaie était petite, profonde et sans nul doute le coup avait été porté par un expert en chirurgie ou un boucher.
Jocelyne éprouvait une curieuse sensation : comme si dans ce décor superficiel, une vérité pouvait se révéler ; il n’y avait qu’à s intéresser au passé de la danseuse.
Clara travaillait depuis cinq ans au Moulin Rouge. Le prestigieux cabaret exigeait efforts journaliers, discipline parfaite et compétition acharnée entre tous les danseurs. Déja apres une formation en danse classique, Clara avait abandonné ses rêves de devenir une étoile. Et puis, elle avait dû pour raisons financières choisir un métier qui rapportait davantage et plus vite que des années où elle serait simple sujet dans les ballets à l’opéra.
Jocelyne avait appris toutes ces informations de la directrice. Cette femme d’une cinquantaine d’années avait, elle même, été meneuse de revue, puis régisseuse enfin elle avait pu succéder au directeur en place.
- « Que savez vous de Carla , de sa famille, de son passé ?
- Non, pas grand chose. Je crois qu’elle vient d’un milieu ouvrier. Elle ne recevait jamais de coups de téléphone ici. Elle m’a dit une fois, qu’elle avait quitté ses parents pour suivre un homme plus âgé, une sorte de Pygmalion qui lui avait payé ses études de danse, l’avait aidée à obtenir ce poste envié de danseuse au Moulin rouge!
- C’était son amant ?
- Probablement ! Une fille pauvre est bien obligée de céder à celui qui la prend en charge financièrement. Et puis les hommes d’un certain âge remplacent le père et s’ils savent se faire aimer, les filles ne peuvent résister à leur ascendant.»
La directrice restait songeuse. Se souvenait-elle de sa propre histoire en racontant celle de Clara ?
Pour couper court, la quinquagénaire prétexta une tâche urgente et tourna les talons.
Jocelyne demanda aux autres danseuses de venir dans la salle de spectacle pour répondre à ses questions.
Les filles se ressemblaient : toutes de la même taille, la même corpulence. D’ailleurs, elles avaient gardé leur costume de scène. Cette jupe à frou-frou, aux couleurs bleu, blanc, rouge. Il fallait rappeler à tous les spectateurs, surtout les étrangers que le cancan est la danse caractéristique de la France d’où son nom «french cancan» d’après les termes que les Anglais, les Américains qui venaient s’encanailler à Paris.
Jocelyne interrogea la danseuse la plus proche d’elle. Elle se nommait Valérie et révéla des caractéristiques du comportement de Clara
- «Clara était passionnée, même révoltée : elle ne supportait pas les ordres donnés par les hommes, surtout !»
- «Sûrement qu’elle avait connu un type violent : je me souviens qu’une fois alors qu’elle se maquillait, elle a caché sous du fond de teint une marque de doigts sur son cou et une griffure au visage. Pour moi, elle avait été frappée mais elle n’avait rien voulu m’avouer.» rajouta la blonde Eliane.
- «Bof, c’est le cas de tant de femmes. Quand ils nous voient sur scène, les hommes nous applaudissent, nous font la cour mais dès qu’une fille cède, l’homme se conduit en maître, en dictateur et il peut nous battre par jalousie.» intervint Gilberte, une brune au visage mutin.
Elles soupirèrent en choeur.
Jocelyne voulait savoir quand Eliane avait vu les traces de violence sur le visage de Clara.
Une quatrième danseuse Francine allait répondre mais tout d’un coup, la directrice Mme Lavaner lui coupa la parole.
- « mesdemoiselles, vous n’êtes pas payées pour bavasser mais pour danser ; répétition dans un quart d’heure !»
Jocelyne fit semblant de quitter la salle mais elle interrogea la préposée au vestiaire, le concierge. Ceux-ci éludèrent les questions : ils ne savaient rien.
La commissaire n’abandonna pas la partie. Elle demanda au jeune inspecteur Raymond, un beau brun aux yeux verts, de venir voir le spectacle du soir et de faire parler les habitués, les filles. Devant une coupe de champagne, les langues se délient.
Lieu mythique du Paris canaille empreint encore du souvenir de Toulouse-Lautrec qui, en peignant Valentin le dessossé ou la Goulue avait assuré pour toujours la célébrité du cabaret dans le monde entier.
Un homme de petite taille attirait les passants par ses boniments devant le Moulin Rouge. Des videurs au visage patibulaire contrôlaient les entrées.
Raymond suivit le flot des touristes. Il s’installa à une table circulaire éclairée par des bougies pour créer une ambiance intime. La couleur rouge prédominait partout ; sur les murs, sur les tables, toujours sur les rideaux de la scène. Ce rouge énergisant pour donner aux participants de la soirée un certain dynamisme. Rouge aussi pour le luxe comme le pourpre utilisé par les empereurs romains.
Les moyens financiers de Raymond ne lui permettaient pas de commander un repas, alors il se contenta de se faire apporter deux coupes de champagne. La serveuse, une blonde qui lui rappelait le tableau de Manet repésentant un bar dans lequel une employée se regardait dans un miroir. Il l’invita avec son beau sourire ravageur. La demoiselle battit des cils. Raymond savait que les serveuses étaient payées au pourboire, surtout. C’est pour cela qu’elles acceptaient de boire avec les dineurs : pour chaque bouteille de champagne achetée, elles touchaient une commission. Sylvie s’asit, donc auprès de Raymond et répondit avec amabilité à ses questions.
- «Connaissiez vous la jeune danseuse qui a été assassinée ? Clara, je crois !
- Vous savez les danseuses et les serveuses ne se mélangent pas ici. La seule chose que je sais, c’est que Clara défendait les femmes battues et même des prostituées. Elle luttait pour l’émancipation des femmes, pour le droit de vote.
- Mais, je croyais qu’elle avait un protecteur.
- Toutes les filles ont un amant. Certains même appartiennent à la mafia. Comme elle était meneuse de revue, Clara avait des ennemis.
- des ennemis ? femmes ou hommes ?
- les deux ! Parce qu’elle était une femme libre, indépendante, parce qu’elle défendait les femmes battues, les prostituées, Clara déplaisait aux hommes de la mafia : ils auraient bien voulu la faire taire.
Parce qu’elle était meneuse de revue, les boys lui en voulaient : orgueuilleux, ils ne voulaient pas qu’une femme commande.
Même les filles la jalousaient.
- Elle n’avait pas d’amie, alors ?
- Je ne sais pas. Je me souviens d’une danseuse qui a été mise à la porte parce qu’elle était enceinte. Il faut dire que pour faire le grand écart, ce n’est pas possible. La seule qui l’a défendue, ce fut Clara !
- Vous savez comment s’appelait cette fille et ce qu’elle est devenue ?
- Isabelle, je crois. Je ne l’ai revue qu’une fois, elle faisait le tapin. Elle était la régulière de Jo, le souteneur le plus en vue de Pigalle.
Raymond le connaissait. Cet homme imbu de lui même faisait travailler plusieurs gagneuses. Il menait une vie de grand seigneur, toujours fringué à quatre épingles. Il trempait dans différentes combines. Il le convoquerait demain.
Soudain, le rideau se leva et la salle fut plongée dans une semi obscurité. Sur la scène, le french cancan battait son plein. Les filles formaient des figures des plus osées : la flèche qui était une critique, à l’origine, de l’église. Elles s’abattaient sur le sol, dans un bel ensemble de volants tricolores, après avoir montré au public leurs jarretières, leur culotte, dans une provocation endiablée. Oui, ces filles qu’on exploitait ouvertement se vengeaient des hommes, des patrons et semblaient faire un pied de nez à toute l’assemblée. Elles retrouvaient donc comme leurs ancêtres, comme la Goulue l’esprit frondeur du peuple parisien.
Dans le chatoiement des étoffes colorées, des strass que portaient les filles, les costumes noirs des danseurs qui faisaient le grand écart, à tour de rôle contrastaient ironiquement. Mais sur le plateau incadescent, tout n’était que musique entraînante, folie et acrobaties calculées. Une revanche des femmes contre les hommes riches et bourgeois qui peuplaient la salle.
Tout d’un coup, la salle s’illumina. Les artistes saluèrent et quittèrent la boite de nuit. Raymond envoya son collègue Daniel dans les loges. Sous prétexte de féliciter les filles, il pourrait apprendre quelque chose. Raymond, quant à lui, alla s’accouder au bar. Il demanda au barman de lui désigner le nommé Jo. Celui ci en fut incapable. Raymond attendait que le dernier spectateur sorte. Il regarda les couples quitter les tables, puis les touristes, enfin les habitués, des hommes seuls pour la plupart se disposèrent à partir. Mais, Raymond intercepta un homme au visage sournois, il reconnut un indict bien connu de la police des moeurs.
- «Riton, tu connais Jo ? Où est il ?
- Il est parti par l’entrée de service !
- Tu sais où il crèche ?
- Grand hôtel de Montmartre !
- Il ne se refuse rien.»
Mais Riton ne souriait pas : il jetait de tous côtés des regards inquiets. Il avait peur de Jo, vraisemblablement.
- Est ce que tu connais Isabelle, sa gagneuse ?
Riton secoua la tête : Raymond le laissa partir.
L’enquêteur Daniel revint. Il avait appris qu’Isabelle logeait chez la mère Pinard : une maquerelle qui tenait un bordel dans la rue Lepic.
Le lendemain, la commissaire Jocelyne accompagnée de Raymond se rendit à la maison close bien nommée «les désirs interdits» !
La tenancière craignait la police des moeurs. Elle tapait aux portes des chambres, prévenant les filles de s’habiller et de descendre. Obéïssantes, elles attendirent dans le salon d’accueil. Instantanément, Jocelyne pensa au tableau de Toulouse-Lautrec qui représentait dans des teintes acidulées des prostituées avec humanité, leur donnant à chacune une psychologie inhabituelle. Jocelyne demanda les noms : une seule répondait au prénom d’Isabelle. Une jeune femme au regard triste, au visage fin et fatiguée. On n’avait qu’à la regarder pour comprendre qu’elle était malheureuse. Jocelyne demanda à la Pinard de la laisser en tête à tête avec Isabelle. Comme un vol d’hirondelles, les prostituées quittèrent le salon pour regagner leur chambre.
- Isabelle, interrogea Jocelyne, où est votre enfant ?
- Il est dans un institution, la Pinard n’a pas voulu que je la garde !
- Parlez moi de Clara !
A ces mots, les yeux bleus d’Isabelle se remplirent de larmes;
- C’est la seule qui m’ait aidée. Quand j’ai été licenciée parce que j’étais enceinte, Clara est allée trouver le directeur du Moulin rouge mais il n’a pas voulu l’écouter. J’ai dû accoucher sous x et le père de l’enfant Jo m’a fait travailler chez la Pinard au début, je n’étais que serveuse. Mais Jo a voulu que je paie seule la pension de ma fille. Je n’avais pas assez d’argent. J’ai dû accepter de faire des passes. Jo m’avait dit qu’on s’installerait ensemble et qu’on recupèrerait ma petite Louise. Alors pour cela, j’ai accepté. Je l’aimais, Jo : j’ai cru à ses promesses. Pourtant Clara m’avait alertée : je ne l’ai pas écoutée.
- Pour vous, qui a tué Clara ?
- Je ne sais pas !
La voix d’Isabelle se troublait, la jeune femme regardait obstinément ses pieds comme si elle avait peur de dire la vérité. Crainte de représailles : peut être !
Raymond suggéra à Jocelyne de trouver immédiatement Jo. Ils grimpèrent la rue Lepic, des artistes célebres avaient habité cette rue. Près du château des Brouillards, ils trouvèrent le grand hôtel de Montmartre. Là, le concierge leur certifia que comme la clé n’était pas au tableau, ils pourraient trouver Monsieur Jo dans sa suite.
L’hôtel comportait toutes les installations les plus modernes. L’ascenseur les conduisait au second étage, où un bel appartement composé d’une grande chambre, d’un salon et d’une salle de bains était occupé par le beau Jo. Jo présentait bien : vêtu d’un smoking foncé, il arborait un sourire affable. Elégant, il s’installa dans un fauteuil confortable et fit signe à Jocelyne et à Raymond de s’asseoir. Grand seigneur, il leur proposa des boissons et des cigarettes. Ils étaient en service : ils refusèrent.
- « Je vous écoute, dit Jo aimablement
- Nous pensons que vous n’êtes pas étranger au meurtre de Clara !
- Vous avez des preuves ?
- Que faisiez vous le 12 février dans l’après midi vers 18 heures ?
- J’étais ici, j’ai un alibi : j’étais en compagnie de Gilberte, la nouvelle meneuse de revue du Moulin
- Oui, mais c’est peut être pour procurer à votre maîtrese Gilberte ce poste que vous avez fait tuer Carla. En plus, vous n’aimiez pas Carla parce qu’elle a défendu Isabelle.
- Isabelle ne compte plus pour moi. J’en avais rien à faire de ce que disait Clara.
- Oui, pourtant vous avez eu un enfant avec Isabelle et vous l’avez incitée à loger

- Il faut te mettre à table Jo !
- J’ai besoin d’un avocat».
Jo sentait que le vent tournait ; il avoua tout. Avec un des boys Gaétan, qui n’aimait pas du tout Clara, il avait imaginé son crime, son alibi. La pauvre Clara avait payé pour son indépendance, son féminisme, sa générosité qui l’incitait à aider les femmes battues, les prostituées, les filles-mères.
Maintenant, elle n’était plus là mais grâce à elle, Isabelle pouvait s’en sortir;
Jocelyne l’aida à se séparer définitivement de Jo, qui fut mis en prison comme le boy Gaétan qui l’avait aidé à s’introduire dans la loge de Clara, à l’insu de tous.

 

 

14 février 2021

Arnaque envers les femmes et en particulier les cancéreuses et/ou handicapées

Les conductrices d'une voiture Toyota Yaris hybride datant de 2015 devraient s'associer contre Toyota France. En effet, en juin 2020, j'ai été victime d'un grave accident ma voiture série limitée cacharel à percuté un arbre et le air bag ne s'est pas ouvert. Non seulement ma voiture a ete classée en épave car l'arbre de direction était irréparable, mais j'ai beaucoup souffert ayant subi le choc du volant en pleine poitrine. J'ai été hospitalisée et eu terrible mal pendant un mois ne pouvant plus me servir du bras droit. Ayant eu 4 cancers du sein  2 ablations des seins et 2 lymphoïde mes un à chaque bras, j'ai appelé plusieurs concessions de Toyota pour demander pourquoi le air bag ne s'était pas ouvert. Il m'a été rétorqué qu'à 50 kms c'était possible. Oui mais avec le choc la vitesse était multipliée par deux au minimum. Heureusement d'ailleurs que je n'étais qu'à 50 kms/heure, j'aurais pu y laisser la vie. 

Donc huit mois après cet accident qui m'a beaucoup coûte aussi financièrement (perte de 7000 euros car voiture indemnisée très peu et radiation de l'assurance ce qui m'a obligé à prendre une assurance plus cher, nécessité d'acheter une autre voiture, frais de taxi pendant 3 mois...) j'apprends que toutes les voitures Toyota yaris de 2015 sont rappelles pour air bag défectueux. J'appelle au numéro indiqué et on me raccroche au nez quand j'explique que ma voiture a ete classée en épave et que je méritais une indemnisation pour remplacer les travaux de changement du air bag qui devaient être gratuits. 

Cette même concession qui m'a vendu cette voiture m'a encore raccroché au nez quand j'ai rappelé une seconde fois. Or quand j'ai acheté ma voiture j'avais eu la bêtise de dire que j'avais eu des cancers et que je voulais une voiture très maniable et sûre en raison de mes deux lymphoedèmes.  Malgré ma commande de la voiture en exposition que je voulais, lorsque je suis revenue de la banque pour le virement servant à payer la voiture, la voiture qui me plaisait était vendue. Un couple était venu après moi et la voiture avait éte vendue à eux malgré leurs promesses. Au bout d une ou deux semaines le directeur de la concession m'avait trouvé une voiture toute pareille sauf qu'elle n'avait pas le livret d'utilisation. Je l ai pourtant achetée pressée par le temps car quand on a des récidives on a peur de ne pas vivre longtemps. Le directeur avait même téléphone à ma banque pour savoir si j'avais assez sur mon compte ce qui est, quand même, exagéré. Par contre on ne m'a même pas fait essayer ma voiture juste dans le parking et un peu devant le garage. Je n'avais pas appris comment utiliser le gps. Il a fallu que j'aille voir un garage Renault pour m'aider. Ce qui prouve que Toyota a un service après vente nul. Mais cet accident qui m'est arrivé est très grave et je tiens Toyota France pour responsable qui sait si la voiture qui m'a été vendue n'était pas déjà connue pour être défectueuse pour sa direction et son air bag ? De plus dans un atelier Toyota quelques jours avant mon accident j'avais fait changer une batterie car en raison de deux batteries sur une hybride il faut toujours en changer surtout en raison du confinement. Pour 300 euros de frais, on ne m'a même pas averti du défaut de l'air bag ni gonflé les pneus.

Je mets en cause Toyota pour mise de danger de la vie d'autrui aux termes de l'article 2145 qui prévoit qu'un constructeur est responsable des défauts de l'engin qu il a vendu à son client. Je cherche des personnes ayant eu la même mésaventure à plusieurs on pourrait faire quelque chose contre Toyota qui d'ailleurs à fait de nombreux rappels pour ses voitures yaris si on en croit le relevé d'auto plus. Peut être il y a eu des morts et des handicapés.

14 février 2021

Arnaque envers les femmes et en particulier les cancéreuses et/ou handicapées

Les conductrices d'une voiture Toyota Yaris hybride datant de 2015 devraient s'associer contre Toyota France. En effet, en juin 2020, j'ai été victime d'un grave accident ma voiture série limitée cacharel à percuté un arbre et le air bag ne s'est pas ouvert. Non seulement ma voiture a ete classée en épave car l'arbre de direction était irréparable, mais j'ai beaucoup souffert ayant subi le choc du volant en pleine poitrine. J'ai été hospitalisée et eu terrible mal pendant un mois ne pouvant plus me servir du bras droit. Ayant eu 4 cancers du sein  2 ablations des seins et 2 lymphoïde mes un à chaque bras, j'ai appelé plusieurs concessions de Toyota pour demander pourquoi le air bag ne s'était pas ouvert. Il m'a été rétorqué qu'à 50 kms c'était possible. Oui mais avec le choc la vitesse était multipliée par deux au minimum. Heureusement d'ailleurs que je n'étais qu'à 50 kms/heure, j'aurais pu y laisser la vie. 

Donc huit mois après cet accident qui m'a beaucoup coûte aussi financièrement (perte de 7000 euros car voiture indemnisée très peu et radiation de l'assurance ce qui m'a obligé à prendre une assurance plus cher, nécessité d'acheter une autre voiture, frais de taxi pendant 3 mois...) j'apprends que toutes les voitures Toyota yaris de 2015 sont rappelles pour air bag défectueux. J'appelle au numéro indiqué et on me raccroche au nez quand j'explique que ma voiture a ete classée en épave et que je mériterais une indemnisation pour remplacer les travaux de changement du air bag qui devaient être gratuits. 

Cette même concession qui m'a vendu cette voiture m'a encore raccroché au nez quand j'ai rappelé une seconde fois. Or quand j'ai acheté ma voiture j'avais eu la bêtise de dire que j'avais eu des cancers et que je voulais une voiture très maniable et sûre en raison de mes deux lymphoedèmes.  Malgré ma commande de la voiture en exposition que je voulais, lorsque je suis revenue de la banque pour le virement servant à payer la voiture, la voiture qui me plaisait était vendue. Un couple était venu après moi et la voiture avait éte vendue à eux malgré leurs promesses. Au bout d une ou deux semaines le directeur de la concession m'avait trouvé une voiture toute pareille sauf qu'elle n'avait pas le livret d'utilisation. Je l ai pourtant achetée pressée par le temps car quand on a des récidives on a peur de ne pas vivre longtemps. Le directeur avait même téléphone à ma banque pour savoir si j'avais assez sur mon compte ce qui est, quand même, exagéré. Par contre on ne m'a même pas fait essayer ma voiture juste dans le parking et un peu devant le garage. Je n'avais pas appris comment utiliser le gps. Il a fallu que j'aille voir un garage Renault pour m'aider. Ce qui prouve que Toyota a un service après vente nul. Mais cet accident qui m'est arrivé est très grave et je tiens Toyota France pour responsable qui sait si la voiture qui m'a été vendue n'était pas déjà connue pour être défectueuse pour sa direction et son air bag ? De plus dans un atelier Toyota quelques jours avant mon accident j'avais fait changer une batterie car en raison de deux batteries sur une hybride il faut toujours en changer surtout en raison du confinement. Pour 300 euros de frais, on ne m'a même pas averti du défaut de l'air bag ni gonflé les pneus. De plus jamais la clé usb n'à pu fonctionner et lire dans l'ordre les musiques ou les nouvelles lues.

Je mets en cause Toyota pour mise de danger de la vie d'autrui aux termes de l'article 2243 et suivants qui prévoit qu'un constructeur est responsable des défauts de l'engin qu il a vendu à son client. Je cherche des personnes ayant eu la même mésaventure à plusieurs on pourrait faire quelque chose contre Toyota qui d'ailleurs à fait de nombreux rappels pour ses voitures yaris si on en croit le relevé d'auto plus. Peut être il y a eu des morts et des handicapés.

13 février 2021

Mensonge et tromperie envers les cancéreuses en difficultés

Aujourd'hui, j'ai été victime d'une arnaque. J'ai acheté un ordinateur portable et j'ai demandé si on m'installerait les applications sur mon ordinateur à partir de ma tablette,  oui a repondu le vendeur et en plus si vous prenez la garantie 4 ans ce sera gratuit pour vous La garantie coûtait 250 euros environ. Je suis indignée car finalement au service technique ils n'ont pas voulu faire la manipulation alors qu'ils l'avaient promis avant que je n'achete le micro ordinateur.

A cause de mon 6 eme cancer du poumon alors que je n'ai jamais fumé, j'ai du mal à parler et à respirer en raison du masque. Voilà comme une enseigne de 4 lettres en jaune dont la 1ere lettre est F et la dernière C m'a traitée en me menaçant de ne pas me rendre l'argent que je venais tout juste de payer par carte bleue si je n'arrêtais pas de me plaindre.

Je n'aime pas qu on me menace et je suis partie sans l'ordinateur. Je suis indignée cela veut dire qu'un vendeur ment effrontément et pour couronner le tout le service technique revient sur sa parole.

J'ai écrit 4 livres dans le passé qui normalement devaient être proposé à la vente à la F..C  et ils ne l'ont jamais fait. Ils disent qu'il faut réserver et qu on a le livre au bout de 3 mois. Ce sont Sous le  signe du cancer, Une Ferme occitane, Vaincre la mort et La Ferme du bonheur. Comment voulez vous que les lecteurs puissent commander un livre, le payer et attendre trois mois qu'il soit sur les rayons.

Arnaque aussi chez les petits éditeurs ils demandent une participation de 500 euros et ne sont même pas capables de mettre votre livre sur le site. En plus d'autres éditeurs font payer encore plus cher en vous promettant monts et merveilles alors qu'ils vous laissent tout seuls ou seules pour la correction, la mise en page, la promotion. Et ils osent vous harceler de messages pour payer pour une photo de couverture, des étiquettes publicitaires, l'inscription à un salonvous n'êtes pour eux que des vaches à lait et comme vous devez acher vos propres livres pour les vendre vous mème au salon ils gagnent sur tous les tableaux et vous perdez.

 Encore un conseil, évitez de parler de votre maladie, car au lieu d'attirer la sympathie, des gens malfaisants profitent de vous en se disant comme elle est pressée de vivre elle acceptera tout ce que je lui ferai payer et mourra peut être avant de s'apercevoir de l'arnaque.

Méfiance et dites vous encore une fois comme je l'ai expliqué dans mon ouvrage Sous le signe du cancer, que le cancer c'est moins la tumeur que le mal volontaire que vous font ceux qui profitent de vous pour des raisons financières mais aussi comme pour les  hommes qui battent ou insultent eur femme malade par plaisir de faire souffrir un travers malheureusement fréquent comme celui qui veut que la proportion des hommes quittant leur épouse atteinte de cancer soit bien supérieure à celle des femmes quittant leur mari malade.

 

 

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